Le rapport à l'exclusion de Michel Sarulo

L'informateur parle de son stockage d'argent dans des bouteilles en plastique et des marchés de la région (Istres, Saint-Rémy, Miramas, Pelissanne) où il installe "sa boutique" dans la semaine et de ses clients. Il évoque son emplacement sur ces marchés, et sur ceux qui lui rapporte le plus, puis il revient sur son tri des pièces de monnaie qu'il range par somme. Il parle ensuite de son organisation dans l'année et du chômage tout en se défendant d'être un "marginal". Après quelques digressions sur son état de santé, il raconte divers souvenirs sur ses emplois puis donne sa vision du temps et de la jeunesse. L'informateur raconte plusieurs anecdotes sur sa vie, en particulier sur ses origines italiennes et son intégration en France. A travers de nombreuses images il fait part de sa vision de la société et de l'actualité. Il revient sur son niveau de vie, explique ses valeurs et dit en quoi il vit "bien" et ne se sent pas "exclu". L'informateur raconte une histoire pour illustrer son état d'esprit et ne regrette pas son choix de vie. La discussion s'oriente enfin sur des thèmes religieux et politiques révélant sa philosophie de vie et son goût de la liberté.