Écrire sans les fées : naturalisme et merveilleux
Cet article aborde les rapports du naturalisme et du merveilleux, et montre que l’on peut dépasser le clivage définitif qui a priori isole, d’une part, un courant littéraire fondé sur le scientisme et, d’autre part, un genre, le conte de fées, auquel le second xixe siècle ne semble plus croire. Le naturalisme n’est pas tant le lieu d’une liquidatio...