[Sélection de la semaine] Les animaux à l’honneur : quand la science se met à poil

[Du 28 avril au 2 mai 2014] Note de la rédaction : la semaine scientifique de MyScienceWork

Cette semaine, l’actualité scientifique a bourdonné, miaulé, cliqueté et couiné dans tous les sens. A croire que l’arche de Noé s’est déversée toute entière dans notre sélection d’articles de la semaine pour livrer ses conclusions scientifiques. Des chauves-souris, des araignées, des abeilles, des chats, des ours, des poissons-zèbres… Amoureux des animaux, cette sélection de la semaine est pour vous !

Cette semaine, l’actualité scientifique a bourdonné, miaulé, cliqueté et couiné dans tous les sens. A croire que l’arche de Noé s’est déversée toute entière dans notre sélection d’articles de la semaine pour livrer ses conclusions scientifiques. Des chauves-souris, des araignées, des abeilles, des chats, des ours, des poissons-zèbres… Amoureux des animaux, cette sélection de la semaine est pour vous !

 

Source : Wikimedia Commons

 

Nos actualités de la semaine :

Envolons nous tout d’abord un peu plus près des chauves-souris de France métropolitaine. Si elles sont extrêmement utiles à notre écosystème, leur population décroît de façon plutôt inquiétante en raison de diverses activités humaines. MyScienceWork s’est penché cette semaine sur les meilleurs moyens d’étudier et de protéger ces mammifères nocturnes avec lesquels nous cohabitons.

Quand les chauves-souris font « cocorico »

 

Pour s’envoler encore un peu plus loin, allons jusqu’en Californie où Virginie, Tristan et Fräntz de MyScienceWork ont eu l’occasion de visiter la prestigieuse université de Stanford. Virginie nous livre sur notre Tumblr ses impressions sur l’atmosphère toute particulière qui règne dans le campus. Vous pouvez aussi suivre toute l’activité de MyScienceWork en Silicon Valley grâce au hashtag #svMSW sur Twitter.

Stanford University sur notre Tumblr

 

Notre sélection des News immanquables de la semaine :

Commençons donc la semaine en bourdonnant : en période de floraison, les agriculteurs ne pourront plus épandre de pesticides en journée afin de préserver les insectes pollinisateurs.

 

La journée terminée, ils pourront aussi compter les étoiles et les insectes nocturnes avec vous pour évaluer l’impact de la pollution lumineuse.

 

Si certains animaux à six pattes sont importants pour notre environnement, il y en a qu’on aime un peu moins, comme la mouche tsé-tsé dont on a décrypté le génome.

 

Ça tombe plutôt bien, c’est la saison des amours chez un prédateur naturel de la mouche : l’araignée. D’ailleurs, les messieurs veuves noires préfèrent ces dames quand elles sont vierges et bien nourries.

 

Messieurs araignées paons sont en revanche plutôt coquets et revêtent leurs plus beaux atours pour aller conter fleurette.

 

Du côté des humains, il vaudrait en revanche mieux sentir la fleur ou le croissant pour séduire.

 

Si vos tentatives de séduction restent infructueuses, vous aurez toujours votre chat pour vous tenir compagnie, même si on ne sait pas encore ce qu’il pense vraiment de vous.

 

Si vous êtes un homme dans un laboratoire, une chose est en revanche sure : les souris ne vous aiment pas ! Vous les stressez…

 

Rassurez-vous cependant, vous pourrez bientôt vous passer de ces ingrats rongeurs : de la peau humaine créée en laboratoire pourrait mettre fin à l’expérimentation animale pour les médicaments et les cosmétiques !

 

Cette nouvelle a aussi de quoi réjouir les militants qui ont manifesté samedi à Paris contre l’utilisation des animaux dans la recherche scientifique.

 

En attendant cette révolution dans les laboratoires, des poissons-zèbres pourraient avoir servi à faire avancer la recherche pour soigner la maladie d’Alzheimer.

 

La révolution dans la recherche en France ne serait en revanche pas pour tout de suite pour Thibault Gajdos du CNRS, qui s’inquiète de la politique menée par Geneviève Fioraso.

 

En Espagne, les ours se mettent par contre aussi à la recherche. Une oursonne trouvée dans les Pyrénées recherche en effet sa mère.

 

Et si des petites bêtes avaient vécu sur Mars il y a 3,6 milliards d’années ? La première mesure de l’atmosphère primitive de la planète rouge permettrait d’estimer si la vie a pu y apparaître.

 

Une nécropole datant de l’époque où les chats étaient vénérés en Egypte a en revanche été découverte, contenant une cinquantaine de momies… humaines !