Pour que rien ne change, il faut tout changer. Une île apparait dans une mer de méthane, puis s'évanouit. Une queue se détache du corps d'un amhpibien mais repousse inlassablement. Un bras mort, leste, renaît. Mais dites-moi, si ce qu'on observe évolue sans cesse, sans but, que nous reste-t-il ? L'espoir. La conaissance. À chaque semaine son lot de surprises et de découvertes intriguantes. Voici notre sélection de la semaine.
Salamandre © Traumrune, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Nos actualités de la semaine
Le retour de MyScienceWork sur le colloque « Science ouverte, société ouverte », qui s'est tenu les 5 et 6 juin derniers au ministère de la recherche.
Open data : faut-il partager pour mieux innover ?
À l'occasion de la dernière édition de NightScience (un événement qui promeut la créativité collective au service des découvertes scientifiques et de l'éducation), nous avons pu rencontrer deux profs qui enseignent la Physique-Chimie à des lycéens avec des méthodes innovantes.
Lycée : apprendre la physique en s'inspirant de la recherche.
Notre sélection des News immanquables de la semaine
Nous somme sur Titan, la plus grosse lune de Saturne. Des chercheurs américains y ont découvert une île, qu'ils ont surnommée « mystérieuse » pour sa nature changeante : à peine observée, elle disparaissait deux semaines plus tard.
Vous savez ce qui disparaît pour revenir chez la salamandre ? La queue, ou même un œil, qui peuvent littéralement repousser sur le corps de l'amphibien. Sur la piste de ce mystère biologique, des chercheurs anglais viennent de lever le voile sur un mécanisme biochimique fort intéressant.
Pour un patient tétraplégique, rien ne sert de faire pousser un bras supplémentaire : les membres d'origine sont bien là, mais impossible de les mouvoir. Des chercheurs ont pourtant permis à un jeune américain de bouger son bras à nouveau, en commençant par implanter une puce dans son cerveau.
Des chercheurs britanniques ont développé un système qui permettrait de diagnostiquer des maladies rares à partir de photos d'identité : certaines caractéristiques du visages peuvent trahir des syndromes génétiques malformatifs.
Notre visage peut aussi servir d'outil de mesure pour l'honnêteté d'un sourire. Une étude réalisée par une équipe internationale montre que l'on atteste de l'authenticité d'une risette en imitant de manière imperceptible le rictus de nos congénères avec nos propres muscles.