L'étude et le décryptage du monde par l'Homme a fourni une quantité phénoménale de connaissances. Depuis le balbutiement des sciences, la nécessité de divulguer ces connaissances est apparue comme essentielle. Ainsi, au cours des siècles, la communication de l'information scientifique et technique (IST) a évolué en fonction des besoins et des moyens techniques et technologiques pour aboutir au tournant que nous vivons maintenant : le mouvement de l'open access.
Pour en savoir plus sur l’évolution de la communication scientifique avant le XIXe siècle, MyScienceWork vous invite à consulter le second article de Sylvie Ongena : Historique de la Communication Scientifique avant le XIXe siècle
I). Le XIXe siècle
Après la Révolution Française, l'IST fut marquée par la réorganisation et le désir de reconstituer et de conserver le patrimoine scientifique. Toutes les structures et communautés scientifiques ainsi que les publications disparurent entre 1792 et 1795 [1]. Les publications scientifiques chutèrent drastiquement durant ces années, les savants ne savaient plus comment diffuser leurs résultats. À partir de 1795, la création d'institutions, comme l'Institut national, ou le renforcement d'autres (Observatoire de Paris) redonnèrent une dynamique aux recherches scientifiques. Les collections confisquées à la Révolution furent confiées à des organismes publics, et des grandes écoles furent créées, composant un nouveau point de départ pour le développement de l'IST. Les sociétés savantes se redéployèrent, couvrant une zone géographique ou un domaine scientifique et mettant en place leurs propres revues [1, 2, 4]. Des associations et communautés scientifiques sans lien avec une institution virent le jour pour promouvoir l'entraide et le dialogue entre scientifiques de différents pays, et rassemblant savants et amateurs (L'Association pour l'avancement des sciences en 1831 en Angleterre, l'Association américaine pour l'avancement des sciences en 1848…) [1].
Montrant le besoin de travailler en groupes, la première équipe pluridisciplinaire de recherche fut créée en Suisse par Claude Louis Berthollet. Rassemblant les meilleurs éléments dans plusieurs disciplines, cette équipe, la Société d'Arcueil, travaillait en relation avec des savants étrangers qui leur faisaient parvenir des publications. Elle influença la recherche durant le premier quart du XIXe siècle, notamment par la publication des Mémoires de la Société d'Arcueil [1]. Les travaux scientifiques devinrent internationaux, avec le développement de congrès (Paris accueillit des congrès internationaux en statistiques, télégraphie, géographie…) et de commissions (Commission du mètre en 1869, Commission des poids et mesures en 1875) [1]. Bien que destinées davantage au grand public, les expositions universelles furent également l'occasion d'échanges sur les innovations technologiques.
Les bibliothèques, par manque de moyens et de locaux adaptés, contribuèrent peu à la communication scientifique et la diffusion des connaissances. Les bibliothèques des établissements scientifiques répondaient aux besoins des savants de manières inégales, et les bibliothèques universitaires, aux fonds pauvres, ne purent se développer qu'à la fin du siècle grâce à l'obtention, en 1882, de la charge de dépôt, diffusion et échange des thèses. De par la décision de Bonaparte d'emmener une délégation de scientifiques, la campagne d'Égypte de 1798 à 1801, d'abord campagne militaire, devint source de nombreuses publications scientifiques des études, analyses et mesures réalisées en Égypte. Pour diffuser plus rapidement l'IST, des imprimeries furent même embarquées [1]. Cette campagne montra que les scientifiques avaient une place au service de l'État.
Par l'accord d'une protection des inventeurs dans la publication de leurs travaux en 1791, l'Assemblée nationale a créé une nouvelle source d'informations techniques [1] dont le regroupement en France fut décrété en 1883 (et en 1885 en Angleterre par la création de la Patent Office Library de Londres). Ainsi, l'information technique échappa au contrôle de la communauté scientifique : le dépôt d'un brevet était suivi par des démonstrations et la publication de l'annonce d'une invention par des journaux généraux (l'invention du télégraphe électrique par le peintre Samuel Morse fut d'abord publiée par le Journal of commerce avant d'être relayée par des revues techniques) [1]. Cependant, la croissance de l'édition scientifique s'accéléra tout de même, notamment par la suppression de la censure pendant la Restauration, et les revues scientifiques spécialisées se répandirent. En effet, les monographies furent peu à peu délaissées (surtout leurs éditions multiples) pour les publications dans les revues. De parution plus rapide, elles ont permis de satisfaire la pression de plus en plus grande de publier rapidement les résultats, et elles remplirent par la même occasion un rôle d'archives [2]. L'édition d'ouvrages continua à se développer, de préférence à destination de l'enseignement. Les publications scientifiques reflétaient la popularité des sciences et suivaient étroitement l'évolution et les besoins de l'enseignement supérieur. Lors de l'essor des universités sous la IIIe République, les éditeurs scientifiques prirent en compte les demandes du grand public. Les engouements du grand public eurent alors un fort impact sur l'édition scientifique, en même temps qu'un décalage entre publications et activités de recherche se faisait remarquer. Ainsi, les grandes découvertes en chimie et en sciences naturelles ne furent pas répercutées par une augmentation de l'activité éditoriale. Notons que c'est à cette époque que furent créées les éditions Masson (1804), Wiley (1807), Springer-Verlag (1842) et Dunod (1876) [1, 2] ainsi que les agences d'abonnements.
Les cours en université étaient également un moyen de diffuser la connaissance. Ouverts à tout public, ils proposaient des démonstrations, tout comme les musées qui bénéficièrent de la confiscation des possessions des cabinets de curiosités. La vulgarisation s'est également fortement développée par l'intégration des scientifiques dans la reconstruction sociale (par exemple la diffusion directe des connaissances indispensables aux géomètres…).
II). L'IST au XXe siècle
Les technologies de traitement des documents
C'est au début du XXe siècle que se sont développées les techniques documentaires, inventées à la fin du XIXe siècle, indispensables à la classification et à la recherche d'informations dans les centres de documentations (la classification décimale de Dewey puis la classification décimale universelle) [1]. Les techniques d'indexation permirent la publication de catalogues de publications, comme l'Index Medicus lancé aux États-Unis en 1879, précurseur de Medline, et les Chemical Abstracts en 1907 [2]. En 1935, les premières machines mécanographiques et cartes perforées furent utilisées pour l'indexation et le traitement rapide de données géographiques et comptables, puis de l'information scientifique [1, 2]. La recherche coordonnée permise par ces machines était analogue à celle des ordinateurs.
Les formats de supports bénéficièrent de nouvelles avancées technologiques : la photocopieuse (1937) permit la diffusion multiple de documents, et la micrographie (inventée en 1839 par John B. Dancer) facilitait le stockage de l'information. L'engouement pour la micrographie conduisit à la création par l'American Library Society, en 1938, d'une revue spécialisée et l'utilisation des microfilms pour le stockage de l'IST fut encouragée, jusqu'à l'imagination d'un système de navigation grâce à des liens entre les documents (le web 1.0) par V. Bush (directeur de l'US Office of Scientific Research and Development) [1,2]. L'évolution des préoccupations sur les questions documentaires conduisirent à l'émergence d'une science de l'information, notamment scientifique et technique, ainsi qu’à l'apparition et au développement d'un nouveau corps de métiers axé sur la documentation.
C'est également au début de ce siècle qu'apparurent, grâce à des méthodes statistiques, la bibliométrie, facilitant la gestion des bibliothèques et des centres documentaires. Ainsi, la mesure de productivité informationnelle scientifique du statisticien américain Alfred Lokta, reposait sur la relation entre le nombre des auteurs scientifiques et le nombre d'articles qu'ils publient. La loi de Zipf établissait une relation entre la fréquence d'apparition de mots dans un ensemble de publications scientifiques et leur rang.
Couplées à l'évolution des formats, ces réflexions sur les traitements et les utilisations de l'information a mené à l'éclosion d'une nouvelle discipline qui permit la mise en place de techniques d'analyses des informations massives produites après la Seconde Guerre mondiale [1]. En effet, l'apparition des ordinateurs dans les universités entre 1945 et 1951 a permis le déploiement de nombreuses techniques d'indexation et de recherche d'informations. Les premières applications en ligne apparurent vers 1964 grâce au développement, au sein de la National Aeronotics and Space Agency (NASA), d’un logiciel de recherche à distance (DIALOG) dans les premières grandes banques de données américaines. Au Royaume Uni, les sociétés savantes jouèrent un rôle décisif dès 1950 dans la création des banques de données scientifiques. En France, il fallut attendre la fin des années 1960 pour voir apparaître l'informatique comme support à l'IST.
La production des connaissances et leur publication
Cependant, affectée par la Première Guerre mondiale puis par la crise économique de 1929, l'édition scientifique se ralentit, soutenue uniquement par les grandes maisons d'édition comme Masson, les plus petites maisons fusionnant ou étant rachetées. D'autres maisons d'éditions ciblèrent spécifiquement un public universitaire, comme les Presses Universitaires de France, fondées en 1922 par un groupe de professeurs de l'Académie des Sciences. Ainsi, cette focalisation sur les publications universitaires fut accompagnée par une augmentation de la diffusion et de la communication de thèses [1]. Durant la Seconde Guerre mondiale, le profil de l'édition scientifique se modifia : son berceau se situant en Allemagne migra vers d'autres pays. Les recherches scientifiques étaient principalement axées sur les besoins militaires (physique nucléaire avec le projet Manhattan aux États-Unis et des projets allemands, informatique avec des machines d'encryptage/décryptage…)
Après la Seconde guerre mondiale, la prise de conscience mondiale de l'importance de la recherche scientifique poussa les États à mettre en place des politiques d'IST. Aux États-Unis, la National Science Foundation (NSF) fut créée avec pour mission de développer la circulation de l'information entre les chercheurs. Dans un contexte de guerre froide, l'IST prit un enjeu stratégique de concurrence, menant à la création d'organismes ayant pour objectifs de mettre en place des réseaux nationaux d'IST, d'intensifier la collecte, traitement et diffusion de rapports scientifiques et techniques, mettre en place les premières grandes bases de données scientifiques et techniques, et la NSF participa à l'automatisation de la production de littératures primaires et secondaires. En Europe, le Royaume-Unis prit le même chemin alors que la France, par peur de l'hégémonie américaine, attendit les années 70 pour la mise en place d'une politique nationale de l'IST [1].
En parallèle de la forte croissance de l'activité scientifique d'après guerre, l'industrie de l'édition scientifique connut une accélération, passant de petites maisons d'édition à des entreprises internationales. Entre 1965 et 1985, une multitude de nouvelles revues furent créées, et de nouvelles pratiques tarifaires furent mises en place, pouvant faire augmenter le prix d'un abonnement très rapidement : le contenu de l'année d'une revue relié par une couverture en dur, connu sous le nom de volume, contiendrait maintenant un nombre fixe de pages, et il pourrait donc paraitre plusieurs volumes par an. La discorde entre bibliothèques, scientifiques et maisons d'édition remonte aux années 1960. En effet, la tarification au volume a fait augmenter les prix des abonnements alors que la délocalisation vers des pays à faible coût de main d'œuvre, les nouvelles technologies et les réductions de coûts faisaient baisser le prix de revient. La restriction budgétaire des bibliothèques commençant à se faire ressentir, les bibliothèques proposèrent, au nom du prêt entre bibliothèques, la diffusion d'articles scientifiques photocopiés à bas prix.
Les premiers services de recherche en ligne de publications apparurent dès 1964. L'ISI fut tout de suite très concurrentiel, notamment grâce au Science Citation Index (SCI) et aux Current Contents, bien que la couverture des revues soient essentiellement américaine et anglo-saxonne. Toutefois, il fallut attendre l'apparition du World Wide Web pour voir une réelle influence de l'Internet sur la communication et l'édition scientifique. En effet, même si la mise en ligne d'articles complets était possible bien avant, ce n'est qu'à partir du milieu des années 1990 que les plateformes d'articles en ligne se développèrent (1995 : IDEAL d'Academic Press, 1996 : SpringerLink puis ScienceDirect d'Elsevier et d'autres en 1998. Depuis, la course à la technologie et l'évolution des technologies de l'information et de la communication (TIC) conduisirent à de grands projets, publics ou privés (ADONIS, BioMed Central...). Tous les éditeurs scientifiques ont intégré les bases de publications en ligne dans leurs processus d'édition. La vente d'abonnements en ligne par les grands éditeurs, offrant des packages pour réduire les coûts, poussa les agences d'abonnements à se concentrer sur les petites et moyennes maisons d'édition, ainsi que sur les sociétés savantes et à créer leur propres plateformes en ligne (EBSCO et Swets) [2].
De leur côté, des chercheurs ont mis en place des projets de bases de données pour favoriser les échanges d'informations entre chercheurs, comme la pionnière FlyBase [5]. Avant la mise en place de cette base de connaissances, les matériels biologiques liés à l'étude de la mouche du vinaigre étaient référencés dans des catalogues papier. Il fallait donc diffuser ces catalogues à travers le monde par envois postaux, ce qui posait des problèmes de mise à jour, des diverses versions coexistantes, de la lenteur de diffusion… Un consortium de laboratoires britanniques et américains a donc créé une base de données informatiques qui n'a cessé d'évoluer. D'abord sur CD-rom puis mise en ligne, cette base de données puis de connaissances a souligné un problème profond de la recherche scientifique : le manque d'homogénéité et de coordination mondiale. De gros efforts de nomenclatures et de compilations ont alors débuté afin de coordonner les connaissances et de donner des identifiants uniques et appropriés aux résultats de recherche. Ce travail a permis d'avoir des bases seines pour la future création d'ontologies.
C'est dans ce contexte qu'apparut, dans le milieu des années 1990, le mouvement pour l'accès libre ("open access") ou à bas coût aux publications scientifiques. Ce mouvement s'appuie sur différents constats :
- la mise en forme faite par les auteurs baisse les coûts de production
- la suppression du format papier engendre moins de frais
- les maisons d'édition s’approprient actuellement sans concession les droits d'auteurs.
III). La publication scientifique au XXIe siècle
L'ensemble des publications scientifiques éditées actuellement est disponible sur Internet. De nombreuses bases de données et bases bibliographiques sont disponibles. Depuis une dizaine d'années, on voit apparaitre également des bases de connaissances qui s'organisent de plus en plus finement (voir le chapitre sur les bases de données et de connaissances scientifiques). De nombreux logiciels sont disponibles pour faciliter le travail d'édition, dont voici quelques exemples :
- Mise en page avec LaTex
- Traitement d'image et création de figures avec Photoshop
- Ingénieries d'ontologies avec Protégé
- Design moléculaire avec Maestro
- Gestion bibliographique avec EndNote
- Gestion éditoriale avec ScholarOne
- Moteurs de recherche avec Scopus ou Google Scholar
Ces outils informatiques et Internet ont fait émerger un nouveau modèle de publications scientifiques, encore en pleine évolution, basé sur la publication et l'échange de données et informations scientifiques sur Internet.
Cependant, l'accès payant à la majorité du corpus de publications scientifiques est un frein important à la diffusion la plus large possible des publications scientifiques, même si les éditeurs ont décidé, suite à une initiative de l'OMS, de fournir gratuitement ou à bas prix un accès électronique aux publications du secteur médical (Health InterNetwork Access to Research Initiative) [b]. Ainsi, au lieu d'un effort des institutions publiques pour financer l'accès aux plateformes des éditeurs, s'est mis en place un mouvement d'édition des publications dans des archives institutionnelles et leur interopérabilité [2].
Toutefois, les objectifs des institutions publiques sont essentiellement de mettre à disposition gratuite l'ensemble des résultats obtenus en leur sein, tandis que les éditeurs ont pour but de proposer des contenus de qualité sélectionnés et élaborés avec soin. L'élément commun de ces deux pratiques de publication est le bibliothécaire. En effet, dans le premier cas, le bibliothécaire a pour responsabilité l'entretien et la gestion numérique des publications en accès libre ou open access (OA). Dans le deuxième cas, les bibliothécaires sont en étroite collaboration avec les éditeurs pour négocier les contrats d'abonnements et le partage de compétences de gestion numérique des publications et la mise en place de centres d'archives à long terme.
Pour les chercheurs, l'édition numérique est un enjeu stratégique important. En effet, un travail de recherche ne peut exister sans confrontation ni controverse scientifique [2], c'est sa publication dans une revue qui lui donne une existence officielle. Publier des résultats permet donc de :
- Débattre de la véracité et de la justesse des travaux et déductions lors de débats scientifiques ;
- Rendre publics les travaux de recherche afin que d'autres puissent les utiliser ;
- Pérenniser un projet de recherche ou une carrière (Publish or perish [c]) ;
- Faire évoluer les technologies et les sociétés ;
- Trouver des financements…
L'évaluation de la carrière du chercheur et l'attribution de financements devient une pression de plus en plus importante et les travaux de recherche sont donc essentiellement publiés dans des revues à fort facteur d'impact. Ces aspects primordiaux sont souvent en contradiction avec la nécessité de mise à disposition large des résultats pour la confrontation et le débat scientifique ainsi que la mise à disposition pour d'autres projets de recherche. Ainsi, la publication et la communication des résultats scientifiques, au cœur de l'activité des chercheurs, est actuellement un terrain de discorde en pleine mutation.
Pour en savoir plus sur l’évolution de la communication scientifique avant le XIXe siècle, MyScienceWork vous invite à consulter le second article de Sylvie Ongena : Historique de la Communication Scientifique avant le XIXe siècle
Bibliographie :
a) Ouvrages
[1] Comberousse Martine. Histoire de l'information scientifique et technique. Paris, France : Armand Colin, 2005, 127p. ISBN : 2200344171. [2] Schöpfel Joachim. La publication scientifique : analyses et perspectives. Paris, France : Lavoisier, 2008, 367p. ISBN : 9782746218468.
b) Publications et rapports
[3] Bose Hélène. Le droit des chercheurs à mettre leurs résultats de recherche en libre accès : appropriation des archives ouvertes par différentes communautés dans le monde. Terminal,2009, numéro 102, p93-113. [4] Chouteau Marianne. Organisation scientifique et information scientifique et technique : deux histoires intimement liées. 2004, Direction prospective et stratégie d'agglomération du Grand Lyon. [5] Ongéna Sylvie Etude d'une base de données en ligne spécialisée en biologie et bioinformatique. Master Gestion des Connaissances. Université de Bourgogne – IUP IDERI, 2011, 24 pages.
Sitographie
[a] Futura-sciences. Galilée – Biographie [En ligne]. Disponible sur https://www.futura-sciences.com/sciences/personnalites/astronomie-galilee-220/ (Consulté le 4 juillet 2011).
[b] HINARI [En ligne]. Disponible sur https://www.who.int/hinari/fr/ (Consulté le 8 août 2011)
[c] Wikipedia Publish or perish [En ligne]. Disponible sur https://en.wikipedia.org/wiki/Publish_or_perish (Consulté le 4 juillet 2011).
[d] Wikipedia. Francis Bacon (philosophe) [En ligne]. Disponible sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Francis_Bacon_(philosophe) (Consulté le 3 juillet 2011).
[e] Wikipedia. Histoire des bibliothèques [En ligne]. Disponible sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Bibliothèque. (Consulté le 29 juin 2011).
[f] Wikipedia. Johannes Gutemberg [En ligne]. Disponible sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Johannes_Gutenberg (Consulté le 30 juin 2011).
Article similaire sur MyScienceWork:
L’édition scientifique : son modèle, ses scandales
L’open access : vers une nouvelle pratique de la communication scientifique
L’information scientifique et technique en libre accès : recherche et veille
L’évolution de la pratique des réseaux sociaux en science